pensées 5
Pensées Proches Et Lointaines
« Tu peux courir à l’infini à la poursuite du bonheur, la terre est ronde autant l’attendre ici. » ...
Pensées Proches Et Lointaines
Laisse au bord de ta vigne quelques grappes de raisins pour le voyageur altéré.
Proverbe grec ; Les maximes de la Grèce antique (1855)
Proverbe grec ; Les maximes de la Grèce antique (1855)
Pensées Proches Et Lointaines
L'Almanarre...
L'amour d'une maman, c'est la conviction que ses poussins sont des cygnes ;
ce qui est la meilleure façon de donner du moral à des enfants qui sont convaincus d'être de vilains petits canards.
Pam Brown ,
Pensées Proches Et Lointaines
J'ai toujours aimé le désert. On s'assoit sur une dune de sable. On ne voit rien.
On n'entend rien. Et cependant quelque chose rayonne en silence...
Antoine De Saint-Exupéry
Artiste, Aviateur, écrivain (1900 - 1944)
Antoine De Saint-Exupéry
Artiste, Aviateur, écrivain (1900 - 1944)
Pensées Proches Et Lointaines
Pensées Proches Et Lointaines
LE SPECTACLE DE LA NATURE EST TOUJOURS BEAU - ARISTOTE
Pensées Proches Et LointainesDes images rares et réconfortantes prises au parc de Nara au JAPON montrent des cerfs en train de se détendre sous les cerisiers en fleurs.
Qu'elle nous aide à remplir notre mission de petits mots doux.
Pensées Proches Et Lointaines
la mort n'est jamais la fin du voyage
mais toujours en partant vers la lumière
Qu'elle nous aide à remplir notre mission de petits mots doux.
Pensées Proches Et LointainesJ'ai rangé hier et réaménager le Chai , j'ai rammassé ce ptit livre et l'ai ouvert au harserd ...je vous embrasse Prenez soin de vous
Qu'elle nous aide à remplir notre mission de petits mots doux.
Pensées Proches Et LointainesSainte-Dévote Patronne de Monaco
Qu'elle nous aide à remplir notre mission de petits mots doux.
Pensées Proches Et LointainesqUE TOUTES CES CLOCHETTES SOIENT AUTANT DE SIGNES QUE mACO VOUS ENVERRA
Ce qui fait la valeur d'une vie et lui donne son sens, c'est l'amour dont elle a été remplie.
Pensées Proches Et Lointaines
Saint Marc
Ce qui fait la valeur d'une vie et lui donne son sens, c'est l'amour dont elle a été remplie.
Pensées proches et lointainesdES SIGNES...Peu avant ton départ , tu avais envoyé cette prière à tes proches en espérant qu'à leur tour ils la diffusent. Il y a à peu près deux ans, j'ai retrouvé cet e-mail et je l'ai transmis à ta maman et ton papa. Ta maman depuis, n'a eu de cesse de trouver une solution pour la diffuser ...finalement, elle a trouvé une jeune femme à la paroisse Sainte Thérèse de La Garde ...du nom de "Fleur" qui l'a aidé et qui a réalisé ce dessin et cette carte postale. Ta maman l'a faite reproduire et elle a été distribué en relais à la paroisse, dans les hôpitaux ... Aujourd'hui, 17 avril 2020, ... au détour de ma promenade ...ce magnifique arbre de Judée ( Selon la légende, c'est à cet arbre que Judas se serait pendu après avoir trahi Jésus Christ.). C’est aussi Sainte Kateri Tekakwitha Amérindienne (✝ 1680) ...et Saint Anicet (Etymologie latine : "aniceum", anis...) *************************************************************************** « Les Français aiment voir, dans les vertus de leurs vignobles, l’effet d’un privilège naturel, d’une grâce particulière accordée à la terre de France, comme s’il y avait plus d’honneur, pour notre pays, à recevoir du Ciel que de la peine des hommes cette renommée viticole où nos ancêtres ont trouvé un sujet de fierté collective avant même que ne se fût éveillé en eux le sentiment d’une patrie française. De là, dans les notions d’histoire viticole communément répandues, tant de représentations illusoires et d’explications faciles. Une belle réussite, quand elle est le fruit d’un long et dur travail, se reconnaît à ceci qu’elle le fait oublier. » -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Sans équivalent dans le reste du monde, notre viticulture est l'un des soutiens les plus sûrs à notre commerce d'exportation et l'une des expressions les plus glorieuses de la civilisation que nous a léguée l'antiquité gréco-romaine. En témoignent les "Musées du Vin" ou "Maisons du Vin" qui distinguent les hauts lieux du monde viticole, et que l'on se propose d'imiter hors de nos frontières. A la France revient l'honneur d'avoir, en ces matières, donné l'impulsion et fourni les modèles. Roger DION -Pensées aussi à Pierre GALET, son ami. @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@
A Céline l’œnologue émérite , la petite Hermine, Angèle de Carcès, le Grand Chef Michel, Samuel l'oenotouristique, le gentil voisin, partis trop tôt comme beaucoup d'autres... En espérant que ton vœux sera exhaussé et que cette prière fera le tour du monde pour apaiser et rendre espoir aux malades, à ceux qui ont faim , à ceux qui ont froid , à ceux qui souffrent...
RIP Marco Toto, Geek de la première heure +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Ils ne disparaissent pas, ils sont justes invisibles, restent en lien avec nous et veillent sur nous.
Pensées proches et lointainesavé Maria
Pensées proches et lointainesRaavetriomphale de notre Sauveur ; suivons-le dans sa passion jusqu’à la croix pour avoir part à sa résurrection et à sa vie." Après ce Carême forcé d'un tiers de l'humanité, la liturgie de la Semaine Sainte offre chaque jour de la semaine à venir une étape vers une sorte de déconfinement de l'esprit. Pour les croyants, pour les curieux, pour les amoureux de la diversité...
Pensées proches et lointainesLe spectacle de la nature est toujours beau.Aristote
Pensées proches et lointainesSi tu vois tout en gris, déplace l'éléphant !Proverbe indien
Pensées proches et lointaines
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A 40 Ans Franz Kafka (1883-1924) Qui Ne S'est Jamais Marié Et N'avait Pas D'enfants, Se Promenait Dans Le Parc De Berlin Quand Il Rencontra Une Petite Fille Qui Pleurait Parce Qu'elle Avait Perdu Sa Poupée Préférée. Elle Et Kafka Ont Cherché La Poupée Sans Succès.Kafka Lui A Dit De Le Rencontrer Le Lendemain Et Ils Reviendraient La Chercher.Le Lendemain, Quand Ils N'avaient Pas Encore Trouvé La Poupée, Kafka Donna À La Petite Fille Une Lettre "Écrite" De La Poupée Qui Disait : " S'il Te Plaît Ne Pleure Pas. J'ai Fait Un Voyage Pour Voir Le Monde. Je Vais T'écrire Sur Mes Aventures." C'est Ainsi Que Commença Une Histoire Qui Se Poursuit Jusqu'à La Fin De La Vie De Kafka. Lors De Leurs Rencontres, Kafka Lisait Les Lettres De Poupée Soigneusement Écrites Avec Des Aventures Et Des Conversations Que L'enfant Trouvait Adorables . Enfin, Kafka Lui Ramena La Poupée (En Acheta Une) Qui Était De Retour À Berlin. "Elle Ne Ressemble Pas Du Tout À Ma Poupée", Dit La Petite Fille. Kafka Lui A Remis Une Autre Lettre Dans Laquelle La Poupée Écrivait : "Mes Voyages M'ont Changé."
La Petite Fille A Embrassé La Nouvelle Poupée Et L'a Ramené Toute Heureuse À La Maison. Un An Plus Tard, Kafka Est Mort.
Plusieurs Années Plus Tard, La Petite Fille Désormais Adulte A Trouvé Une Lettre Dans La Poupée. Dans La Minuscule Lettre Signée Par Kafka, Il Y Avait Écrit :
"Tout Ce Que Tu Aimes Sera Probablement Perdu, Mais À La Fin L'amour Reviendra D'une Autre Façon."
La Petite Fille A Embrassé La Nouvelle Poupée Et L'a Ramené Toute Heureuse À La Maison. Un An Plus Tard, Kafka Est Mort.
Plusieurs Années Plus Tard, La Petite Fille Désormais Adulte A Trouvé Une Lettre Dans La Poupée. Dans La Minuscule Lettre Signée Par Kafka, Il Y Avait Écrit :
"Tout Ce Que Tu Aimes Sera Probablement Perdu, Mais À La Fin L'amour Reviendra D'une Autre Façon."
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J'ai vu un ange dans le marbre et j'ai seulement ciselé jusqu'à l'en libérer. mICHEL aNGE
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Il est né sans raison de naître celui qui ne vit que pour lui seul, et c'est cette noble passion qui seule enseigne à s'oublier pour autrui. Tout ce qu'il y a de bon ici-bas, c'est la gloire qui le produit. Pietro Trapassi
Pensées proches et lointaines
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Elle vient de Bourgogne ... nous faire un signe
je vous embrasse tous fort
Pensées proches et lointaines
Pour elle et les siens...
je vous embrasse tous fort
Pensées proches et lointaines
Merci pour ces mots doux et apaisants
et merci Marco toto pour la voix à suivre...
je vous embrasse tous fort
Pensées proches et lointaines
je ne sais pas si vous connaissez ce site, je viens de tomber par hasard dessus
je vous embrasse
Pensées proches et lointaines
L'homme naît perfectible, l'animal naît parfait. Louis de Bonald
Pensées proches et lointaines
Même si le son n'y est pas ce sont de belles cascades,
Pensées proches et lointaines
Ma grande sœur de cœur
S’appelle Danièle
Elle ne le sait pas
Je voudrais lui écrire
Un poème à la crème
Pour l’entendre de nouveau rire
Vous savez ce petit rire des gens humbles et discrets
De ces personnes même si leur quotidien est le calvaire
Font bonne mine
Ce petit rire merveilleux qui vous transporte
Vers le pays des fées et des ondines.
Je voudrais lui offrir ces quelques mots
« Le lien qui t’unit à ta vraie famille
N’est pas celui du sang, mais
Celui du respect et de la joie, dans
La vie de chacun des membres.
Il est rare que les membres
D’une même famille grandissent
Sous le même
Toit ».
S’appelle Danièle
Elle ne le sait pas
Je voudrais lui écrire
Un poème à la crème
Pour l’entendre de nouveau rire
Vous savez ce petit rire des gens humbles et discrets
De ces personnes même si leur quotidien est le calvaire
Font bonne mine
Ce petit rire merveilleux qui vous transporte
Vers le pays des fées et des ondines.
Je voudrais lui offrir ces quelques mots
« Le lien qui t’unit à ta vraie famille
N’est pas celui du sang, mais
Celui du respect et de la joie, dans
La vie de chacun des membres.
Il est rare que les membres
D’une même famille grandissent
Sous le même
Toit ».
Merci Marco Toto
Et si d’aventures ces quelques mots étaient dérangeants je les ferais disparaitre...
Et si d’aventures ces quelques mots étaient dérangeants je les ferais disparaitre...
Pensées proches et lointaines
“L'amitié, c'est ce qui vient au coeur quant on fait ensemble des choses belles et difficiles.” Abbé Pierre
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Découvrez ce que vous aimeriez faire et faites tout votre possible pour y parvenir. Richard Nach
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“Les mots qui ont un son noble contiennent toujours de belles images.” Pagnol
Pensées proches et lointaines
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Sic luceat lux « Qu’ainsi brille la lumière »
Pensées proches et lointaines
M comme Merlin ou comme Marco , je sais qu'ils sont là pour t'accueillir et prendre soin de toi.
Le lien qui t'unit à ta vraie famille n'est pas celui du sang, mais celui du respect et de la joie, dans la vie de chacun des membres.
Il est rare que les membres d'une même famille grandissent sous le même toit. Richard Bach
Bon voyage à toi...et fée un signe de temps en temps.
Il est rare que les membres d'une même famille grandissent sous le même toit. Richard Bach
Bon voyage à toi...et fée un signe de temps en temps.
Pensées proches et lointaines
Histoire d'une libellule:
Au fond d’un vieux marécage vivaient quelques larves qui ne pouvaient comprendre pourquoi nul du groupe ne revenait
Au fond d’un vieux marécage vivaient quelques larves qui ne pouvaient comprendre pourquoi nul du groupe ne revenait
après avoir rampé le long des tiges de lys jusqu’à la surface de l’eau.
Elles se promirent l’une à l’autre que la prochaine qui serait appelée à monter reviendrait dire aux autres ce qui lui était arrivé.
Bientôt, l’une se sentit poussée de façon irrésistible à gagner la surface ;
Bientôt, l’une se sentit poussée de façon irrésistible à gagner la surface ;
elle se reposa au sommet d’une feuille de lys et subit une magnifique transformation
qui fit d’elle une libellule avec de forts jolies ailes.
Elle essaya en vain de tenir sa promesse.
Volant d’un bout à l’autre du marais, elle voyait bien ses amies en bas.
Alors, elle comprit que même si elles avaient pu la voir,
Volant d’un bout à l’autre du marais, elle voyait bien ses amies en bas.
Alors, elle comprit que même si elles avaient pu la voir,
elles n’auraient pas reconnu comme une des leurs une créature si radieuse.
Le fait que nous ne pouvons voir nos amis et communiquer avec eux
Le fait que nous ne pouvons voir nos amis et communiquer avec eux
après la transformation que nous appelons la mort n’est pas une preuve qu’ils ont cessé d’exister.
Walter Dudley Cavert
Walter Dudley Cavert
Pensées proches et lointaines
Marc né Jean surnommé Marcus, est l'un des premiers convertis au christianisme et à l'évangélisation de l'Empire romain par l'apôtre Pierre. Il est disciple évangéliste des apôtres Pierre et Paul et l'auteur de l'Évangile selon Marc du Nouveau Testament.
Si son Évangile est le second dans l'ordre traditionnel du Nouveau Testament et des trois évangiles dits « synoptiques » avec l'Évangile selon Matthieu et l'Évangile selon Luc, il est probablement celui dont la rédaction initiale est la plus ancienne. Marc est probablement l'inventeur du genre littéraire des évangiles tels que nous les connaissons. Après la première version de son texte, vers 65-75, ce genre littéraire connaîtra un succès considérable, donnant naissance en un siècle à plus de dix évangiles se présentant comme des biographies de Jésus.
Selon la tradition copte orthodoxe, Marc serait né dans la province romaine de Cyrénaïque probablement dans la ville de Cyrène, trois ans après la naissance de Jésus. Son nom est Jean, Marc n'étant que son surnom. Selon les Actes des Apôtres, sa mère se prénommait Marie (12 Actes 12, 12). Ses parents auraient immigré en Palestine peu de temps après sa naissance, en raison d'attaques berbères sur leur ville et sur leur propriété. Ils se sont installés à Cana en Galilée où Jésus effectuera le miracle de la transformation de l'eau en vin, selon l'Évangile attribué à Jean, réputé être le premier « miracle » de Jésus. Marc aurait été un des intendants qui servaient au cours de cette fête. Quelques années après leur installation à Cana, le père de Marc est mort et Simon-Kephas (saint Pierre) qui était marié à une parente du père de Marc a pris soin de lui, le considérant comme son fils. On ignore ce qui lui a valu le surnom de Marcus (le marteau). Selon les Actes des Apôtres ainsi qu'une lettre de Paul de Tarse, il est le cousin de Barnabé (10 Col 4, 10).[pas clair]. Lorsque Simon-Képhas (saint Pierre) s'évade de la prison où l'avait jeté un « Hérode » (probablement un des deux rois Agrippa ou Hérode de Chalcis), il habite avec sa mère (membre éminent de l'Église de Jérusalem) à Jérusalem, leur riche maison servant de lieu de réunion pour les premiers adeptes de la Voie (13 Actes 12, 13).
C'est un des premiers convertis au christianisme et à l'évangélisation de l'Empire romain par l'apôtre Pierre. D'après Papias de Hiéropolis, il était l'interprète de Pierre. La première épître de Pierre atteste que Marc a accompagné saint Pierre, lorsque celui-ci est allé rendre visite à l'église de Babylone.
Selon « la plupart des critiques », Marc l'évangéliste est le même que Jean surnommé Marc, encore appelé Jean-Marc, cousin de Barnabé dont parlent les Actes des Apôtres et les Épîtres de Paul. Sa parenté avec Barnabé, lévite, permettrait d'expliquer que dans la préface sur son Évangile dans les manuscrits de la Vulgate, Marc est présenté comme ayant été un prêtre juif. Jean-Marc suit Barnabé et Paul (cf. Actes 13, 5) lors du premier voyage missionnaire de Paul. Au départ, la mission semble conduite par Barnabé : c'est lui qui est nommé en premier lors du départ (cf. Actes 13,4). Ils vont d'abord évangéliser l'île de Chypre. Barnabé est en effet d'origine chypriote. À Paphos, alors capitale de l'île, ils convertissent le proconsul romain Sergius Paulus. Saul prend désormais le nom de Paul et devient le chef de la mission à la place de Barnabé : les Actes ne parlent plus de Barnabé et Saul mais de Paul et ses compagnons (cf. Actes 13,13). Ils décident de quitter Chypre pour la ville de Pergé en Asie mineure. Ils s'embarquent à Paphos (cf. Actes 13, 13). À Pergé, Marc quitte le groupe et repart pour Jérusalem (cf. Actes 13,13). Cinq ans plus tard environ, au début des années 50, Marc retrouvera Paul et Barnabé à Antioche. A Barnabé qui voudrait reprendre son neveu dans la mission, Paul oppose un refus : cette fois Marc et Barnabé le quittent pour aller évangéliser Chypre, tandis que Paul repart pour l'Asie Mineure avec Silas vers 49-50(37 Actes 15, 37). Marc dès lors n'est plus mentionné dans les Actes des Apôtres et le Nouveau Testament jusqu'à ce qu'il réapparaisse une dizaine d'années plus tard.
Dans les traditions catholiques et orthodoxes, Marc l'évangéliste et Marc en famille avec Barnabé doivent être distingués.
Ce n'est qu'une dizaine d'années plus tard (vers l'an 62) que Marc retrouve probablement Paul alors prisonnier à Rome (13 1 P 5, 13), la ville de Babylone mentionnée dans le passage de cette Première épître de Pierre est considérée par certains spécialistes comme un cryptogramme pour désigner Rome, mesure de sécurité au cas où les espions impériaux de Néron intercepteraient la lettre, cette interprétation étant reprise par la tradition transmise par les Pères de l'Église comme Clément d'Alexandrie et Irénée de Lyon. Marc est devenu le disciple, le secrétaire et le compagnon inséparable de l'apôtre Pierre avec qui il a évangélisé les juifs de Judée (5 Actes 13, 5), cependant son rôle précis est incertain car le terme grec hupereten traduit par secrétaire a des significations variées. Il dirige alors des communautés juives de Rome. Paul le nommera dès lors « son collaborateur ». Il est l'interprète en latin de Pierre et il participe aux travaux apostoliques de celui-ci. Il évangélise et convertit les païens de Rome, leur explique la culture juive et aurait rédigé la première version de l'évangile qui lui est attribué vers 65-75.
Selon la tradition chrétienne, il quitte l'Italie pour retourner évangéliser dans la Pentapole de Libye, en Cyrénaïque, et en Égypte où il fonde l'Église d'Alexandrie (étrangement Clément d'Alexandrie et Origène ne le mentionnent pas); il en devient le premier évêque. Ses successeurs les plus célèbres sont saint Athanase l'apostolique ou saint Cyrille le Grand.
Toujours selon une tradition qui n'apparaît qu'au IVe siècle, il est capturé et martyrisé par les idolâtres irrités de ses nombreuses conversions et serait mort en martyr de la chrétienté un 25 avril vers 68. Il est traîné le 24 avril sur ordre des autorités une corde au cou par les païens criant qu'il fallait « mener ce boeuf » dans les rues de Bucoles, port de pêche proche d'Alexandrie (le boeuf, symbole du sacrifice du martyr, est probablement un jeu de mot avec la localité de Bucoles, du latin bucolus, garde-boeuf ou lieu servant à faire paître les boeufs), et jeté le soir même en prison puis subit le lendemain le même supplice, ses membres étant finalement broyés contre des rochers. Une autre tradition rapporte que son corps est brûlé après sa mort mais un orage aurait éteint les flammes. Après avoir été embaumées, ses reliques auraient été conservées dans une chapelle du petit port de pêche de Bucoles proche d'Alexandrie où il a été exécuté. C'est dans ce lieu saint que les patriarches venaient se faire ordonner.
Si son Évangile est le second dans l'ordre traditionnel du Nouveau Testament et des trois évangiles dits « synoptiques » avec l'Évangile selon Matthieu et l'Évangile selon Luc, il est probablement celui dont la rédaction initiale est la plus ancienne. Marc est probablement l'inventeur du genre littéraire des évangiles tels que nous les connaissons. Après la première version de son texte, vers 65-75, ce genre littéraire connaîtra un succès considérable, donnant naissance en un siècle à plus de dix évangiles se présentant comme des biographies de Jésus.
Selon la tradition copte orthodoxe, Marc serait né dans la province romaine de Cyrénaïque probablement dans la ville de Cyrène, trois ans après la naissance de Jésus. Son nom est Jean, Marc n'étant que son surnom. Selon les Actes des Apôtres, sa mère se prénommait Marie (12 Actes 12, 12). Ses parents auraient immigré en Palestine peu de temps après sa naissance, en raison d'attaques berbères sur leur ville et sur leur propriété. Ils se sont installés à Cana en Galilée où Jésus effectuera le miracle de la transformation de l'eau en vin, selon l'Évangile attribué à Jean, réputé être le premier « miracle » de Jésus. Marc aurait été un des intendants qui servaient au cours de cette fête. Quelques années après leur installation à Cana, le père de Marc est mort et Simon-Kephas (saint Pierre) qui était marié à une parente du père de Marc a pris soin de lui, le considérant comme son fils. On ignore ce qui lui a valu le surnom de Marcus (le marteau). Selon les Actes des Apôtres ainsi qu'une lettre de Paul de Tarse, il est le cousin de Barnabé (10 Col 4, 10).[pas clair]. Lorsque Simon-Képhas (saint Pierre) s'évade de la prison où l'avait jeté un « Hérode » (probablement un des deux rois Agrippa ou Hérode de Chalcis), il habite avec sa mère (membre éminent de l'Église de Jérusalem) à Jérusalem, leur riche maison servant de lieu de réunion pour les premiers adeptes de la Voie (13 Actes 12, 13).
C'est un des premiers convertis au christianisme et à l'évangélisation de l'Empire romain par l'apôtre Pierre. D'après Papias de Hiéropolis, il était l'interprète de Pierre. La première épître de Pierre atteste que Marc a accompagné saint Pierre, lorsque celui-ci est allé rendre visite à l'église de Babylone.
Selon « la plupart des critiques », Marc l'évangéliste est le même que Jean surnommé Marc, encore appelé Jean-Marc, cousin de Barnabé dont parlent les Actes des Apôtres et les Épîtres de Paul. Sa parenté avec Barnabé, lévite, permettrait d'expliquer que dans la préface sur son Évangile dans les manuscrits de la Vulgate, Marc est présenté comme ayant été un prêtre juif. Jean-Marc suit Barnabé et Paul (cf. Actes 13, 5) lors du premier voyage missionnaire de Paul. Au départ, la mission semble conduite par Barnabé : c'est lui qui est nommé en premier lors du départ (cf. Actes 13,4). Ils vont d'abord évangéliser l'île de Chypre. Barnabé est en effet d'origine chypriote. À Paphos, alors capitale de l'île, ils convertissent le proconsul romain Sergius Paulus. Saul prend désormais le nom de Paul et devient le chef de la mission à la place de Barnabé : les Actes ne parlent plus de Barnabé et Saul mais de Paul et ses compagnons (cf. Actes 13,13). Ils décident de quitter Chypre pour la ville de Pergé en Asie mineure. Ils s'embarquent à Paphos (cf. Actes 13, 13). À Pergé, Marc quitte le groupe et repart pour Jérusalem (cf. Actes 13,13). Cinq ans plus tard environ, au début des années 50, Marc retrouvera Paul et Barnabé à Antioche. A Barnabé qui voudrait reprendre son neveu dans la mission, Paul oppose un refus : cette fois Marc et Barnabé le quittent pour aller évangéliser Chypre, tandis que Paul repart pour l'Asie Mineure avec Silas vers 49-50(37 Actes 15, 37). Marc dès lors n'est plus mentionné dans les Actes des Apôtres et le Nouveau Testament jusqu'à ce qu'il réapparaisse une dizaine d'années plus tard.
Dans les traditions catholiques et orthodoxes, Marc l'évangéliste et Marc en famille avec Barnabé doivent être distingués.
Ce n'est qu'une dizaine d'années plus tard (vers l'an 62) que Marc retrouve probablement Paul alors prisonnier à Rome (13 1 P 5, 13), la ville de Babylone mentionnée dans le passage de cette Première épître de Pierre est considérée par certains spécialistes comme un cryptogramme pour désigner Rome, mesure de sécurité au cas où les espions impériaux de Néron intercepteraient la lettre, cette interprétation étant reprise par la tradition transmise par les Pères de l'Église comme Clément d'Alexandrie et Irénée de Lyon. Marc est devenu le disciple, le secrétaire et le compagnon inséparable de l'apôtre Pierre avec qui il a évangélisé les juifs de Judée (5 Actes 13, 5), cependant son rôle précis est incertain car le terme grec hupereten traduit par secrétaire a des significations variées. Il dirige alors des communautés juives de Rome. Paul le nommera dès lors « son collaborateur ». Il est l'interprète en latin de Pierre et il participe aux travaux apostoliques de celui-ci. Il évangélise et convertit les païens de Rome, leur explique la culture juive et aurait rédigé la première version de l'évangile qui lui est attribué vers 65-75.
Selon la tradition chrétienne, il quitte l'Italie pour retourner évangéliser dans la Pentapole de Libye, en Cyrénaïque, et en Égypte où il fonde l'Église d'Alexandrie (étrangement Clément d'Alexandrie et Origène ne le mentionnent pas); il en devient le premier évêque. Ses successeurs les plus célèbres sont saint Athanase l'apostolique ou saint Cyrille le Grand.
Toujours selon une tradition qui n'apparaît qu'au IVe siècle, il est capturé et martyrisé par les idolâtres irrités de ses nombreuses conversions et serait mort en martyr de la chrétienté un 25 avril vers 68. Il est traîné le 24 avril sur ordre des autorités une corde au cou par les païens criant qu'il fallait « mener ce boeuf » dans les rues de Bucoles, port de pêche proche d'Alexandrie (le boeuf, symbole du sacrifice du martyr, est probablement un jeu de mot avec la localité de Bucoles, du latin bucolus, garde-boeuf ou lieu servant à faire paître les boeufs), et jeté le soir même en prison puis subit le lendemain le même supplice, ses membres étant finalement broyés contre des rochers. Une autre tradition rapporte que son corps est brûlé après sa mort mais un orage aurait éteint les flammes. Après avoir été embaumées, ses reliques auraient été conservées dans une chapelle du petit port de pêche de Bucoles proche d'Alexandrie où il a été exécuté. C'est dans ce lieu saint que les patriarches venaient se faire ordonner.
Pensées proches et lointaines
Le roi Louis IX, le saint, est demeuré, dans l’histoire, comme la personnification de la justice et de la bonté élevées à la perfection par la pratique des vertus religieuses. Il avait le don de sauvegarder la dignité de la majesté royale, même quand il se montrait le plus empressé pour les petits, ce qu’on appelait, à cette époque, « la menue gent ».
Quand il résidait au château de Vincennes, il avait l’habitude, après avoir entendu la messe, de sortir dans le bois, pour laisser venir à lui ceux qui avaient à lui parler. Il s’appuyait à un chêne, faisait asseoir sa suite autour de lui, et demandait lui-même à haute voix : Y a-t-il quelqu’un qui est ici partie ? (c’est-à-dire : procès, discussion.) Et il encourageait les plus humbles à lui conter leurs doléances, auxquelles il faisait droit, selon la justice. C’est ainsi qu’il habitua ses sujets, lorsqu’ils avaient à formuler des plaintes, à en « appeler au roi ». Cette habitude constitua l’une des prérogatives les plus populaires de ses successeurs.
Saint Louis était redevable à sa mère de la chrétienne et virile éducation qui guida sa vie entière. Blanche de Castille avait si grande conscience de sa responsabilité, qu’elle disait un soir à saint Louis : Mon fils, je préférerais vous voir mort qu’en état de péché mortel . Elle avait aussi développé chez lui la valeur guerrière, et jamais il ne voulut se mettre à l’abri du danger qu’il faisait courir aux autres : Jamais on ne combattra mes hommes , disait -il à quatorze ans, que mon corps ne soit avec eux .
Quand il résidait au château de Vincennes, il avait l’habitude, après avoir entendu la messe, de sortir dans le bois, pour laisser venir à lui ceux qui avaient à lui parler. Il s’appuyait à un chêne, faisait asseoir sa suite autour de lui, et demandait lui-même à haute voix : Y a-t-il quelqu’un qui est ici partie ? (c’est-à-dire : procès, discussion.) Et il encourageait les plus humbles à lui conter leurs doléances, auxquelles il faisait droit, selon la justice. C’est ainsi qu’il habitua ses sujets, lorsqu’ils avaient à formuler des plaintes, à en « appeler au roi ». Cette habitude constitua l’une des prérogatives les plus populaires de ses successeurs.
Saint Louis était redevable à sa mère de la chrétienne et virile éducation qui guida sa vie entière. Blanche de Castille avait si grande conscience de sa responsabilité, qu’elle disait un soir à saint Louis : Mon fils, je préférerais vous voir mort qu’en état de péché mortel . Elle avait aussi développé chez lui la valeur guerrière, et jamais il ne voulut se mettre à l’abri du danger qu’il faisait courir aux autres : Jamais on ne combattra mes hommes , disait -il à quatorze ans, que mon corps ne soit avec eux .
Pensées proches et lointaines
Une oeuvre d'art a un auteur, et pourtant, quand elle est parfaite, elle a quelque chose d'essentiellement anonyme. Elle imite l'anonymat de l'art divin.
Ainsi la beauté du monde prouve un Dieu à la fois personnel et impersonnel, et ni l'un ni l'autre.
Simone Veil - La pesanteur et la grâce p169